Né 1945
Sculptor; Collage Artist; Painter; Installation Artist
Né en 1945 à Paris, François Martin nourrit son travail pictural de ses nombreux voyages : son oeuvre évolue ainsi par séries. Depuis ses premières expositions en 1972 à la Galerie G. Delsol à La Rochelle, ses dessins et ses tableaux ont été présentés par de nombreux musées et centres d’art. L’URDLA édite ses estampes depuis 1984.
Artiste-enseignant.
Artiste-voyageur.
Peintre, dessinateur et scénographe.
François Martin a traversé tous les continents. Son atelier à Paris est le lieu d’articulation et de montage des éléments et traces ramenés de ses périples, dessins, textes et photographies.
Lauréat de la Villa Médicis hors les murs, il a habité à New-York en 1982 et 1983 et est régulièrement invité à mettre en place des workshops dans les écoles d’art en France ou à l’étranger (Grèce, Egypte, Chili, Pérou).
Principales expositions : «Arkipelagos », Centre d’Art Contemporain, Saint Cyprien; «Le dispositif du voyage», Rencontres internationales de la photographies, Arles; «La pittura è cota volante », Victorian College of the Arts, Melbourne ; «Le soleil se couche, moi aussi », Institut français, Valencia ; «Trop», galerie de l’UQAM, Montréal et Centre d’Art Contemporain, Sète.
Artiste-voyageur.
Peintre, dessinateur et scénographe.
François Martin a traversé tous les continents. Son atelier à Paris est le lieu d’articulation et de montage des éléments et traces ramenés de ses périples, dessins, textes et photographies.
Lauréat de la Villa Médicis hors les murs, il a habité à New-York en 1982 et 1983 et est régulièrement invité à mettre en place des workshops dans les écoles d’art en France ou à l’étranger (Grèce, Egypte, Chili, Pérou).
Principales expositions : «Arkipelagos », Centre d’Art Contemporain, Saint Cyprien; «Le dispositif du voyage», Rencontres internationales de la photographies, Arles; «La pittura è cota volante », Victorian College of the Arts, Melbourne ; «Le soleil se couche, moi aussi », Institut français, Valencia ; «Trop», galerie de l’UQAM, Montréal et Centre d’Art Contemporain, Sète.
Jérôme Sans écrivait en 1986 : « Lié à l’écriture, son travail prend souvent comme point de départ le hasard d’une rencontre, une association d’idées, des rapprochements insolites, surréalistes, teintés d’humour, de jeux de langage » ; dans La femme qui me parlait dans la bouche, l’oeuvre plastique a fait place à l’écriture ; le processus reste analogue.
1980, 1982, 1983
1996
